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الهند

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مُساهمة من طرف بنت جبالة الجمعة 18 يناير 2008 - 20:02

الهند Histoire-indeUne histoire de l'Inde
Evoquant la spiritualité et la non-violence du combat de Gandhi, l’histoire de l’Inde est aussi jalonnée de conquêtes et d’influences culturelles diverses. Redécouvrez les grandes dates de son évolution. 30 dates
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مُساهمة من طرف ZAKIYA الجمعة 18 يناير 2008 - 23:21


Janvier 1948, assassinat de Gandhi


C’est
le 30 Janvier 1948, vers 17h30, heure locale, qu’un extrémiste hindou,
Nathuram Godse, tue Mohandas Karamchand Gandhi de trois balles alors
qu’il se rendait à la prière publique. Gandhi tombait sous les balles
d’un fanatique religieux compatriote et coreligionnaire qui lui
reprochait d’être un ennemi de la religion hindoue. Deux millions
d’Indiens assisteront dans la douleur à ses funérailles.

Le
fait que le Mahatma (la grande âme) soit assassiné par un Hindou est le
symbole même du désaccord existant au sein même d’un peuple qui
réclamait sa liberté. Le grand apôtre de la non-violence tombait alors,
victime de la violence.



Une longue marche pour une « société juste, égalitaire et non violente »


Dix jours avant son
assassinat, il avait été victime d’un attentat à la bombe. Durant un
sermon qu’il adressait à la foule, une bombe éclata à quelques pieds de
lui. Imperturbable, il poursuivit son sermon sans y prendre garde. Le
lendemain, en réponse aux félicitations que l’on lui adressait il
répondait : "Je mériterai ces félicitations si un jour, frappé à mort,
je garde le sourire et ne ressent aucune haine contre mon assaillant".
D’ailleurs, si je dois mourir, dit-il, il vaut mieux que cela soit à la
prière. Quant à son agresseur qui faisait partie d’une bande qui avait
juré de le tuer, Gandhi demanda à la police de le traiter avec
affection dans l’espoir de le convertir à de meilleurs sentiments.


En fin d’après-midi, le
30 janvier 1948, Gandhi quitta Birla House pour se rendre à la prière ;
soutenu par ses deux petites-nièces, il marchait vite car il était en
retard. La foule s’ouvrait devant lui pour le laisser passer. Au moment
où il levait les mains pour répondre à la salutation traditionnelle,
son assassin se prosterne devant lui, prend son revolver et tire trois
balles à bout portant.
Mohandas Karamchand Gandhi est né le 2 octobre 1869 à Porbandar dans
l’état du Gujarat. Il est issu de la caste des Vayshia et sa famille
est relativement aisée. Enfant, sa mère lui inculque les valeurs
hindouistes mais il apprend aussi à connaître les autres religions et
la tolérance à leur égard.



C’est sans doute pendant cette période que se forgent les convictions morales de Gandhi.


Conformément aux coutumes
de sa caste, sa famille le marie à 14 ans avec Kasturbai qui restera
son épouse toute sa vie. En grandissant Gandhi devient convaincu qu’il
ne sera quelqu’un qu’en rompant avec les coutumes de l’Inde et en
copiant le style de vie des anglais. C’est donc logiquement qu’il
s’embarque pour l’Angleterre en 1888 en laissant femme et enfant pour y
faire ses études de droit.



C’est paradoxalement à
Londres que Gandhi lit les principaux textes de l’hindouisme, notamment
la Baghavad-Gita qui l’influencera profondément. Il découvre aussi la
vie de Bouddha, Mahommed, Jésus et fait la connaissance des théosophes
anglais.



Après trois années en
Angleterre et son diplôme d’avocat en poche, Gandhi rentre en Inde.
Malheureusement sa vie professionnelle s’enlise et il reste tiraillé
entre ses racines hindoues et son attirance pour la bourgeoisie
occidentale. En 1893 une entreprise indienne lui propose de se rendre
en Afrique du Sud pour y défendre ses intérêts lors d’un procès. Gandhi
accepte. Il ne le sait pas encore, mais c’est le tournant de sa vie.






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مُساهمة من طرف ZAKIYA الجمعة 18 يناير 2008 - 23:22


Dès son arrivée là-bas il
est confronté à la discrimination raciale. Expulsé d’un train il
s’aperçoit très vite que les britanniques et le boers dominent sans
partage les populations noires et immigrées (à cette époque 100 000
indiens vivent en Afrique du Sud). Il est choqué de voir que les sujets
de l’empire britannique ne sont pas traités de la même manière suivant
la couleur de leur peau.


En 1894, à l’issu du
procès, gagné, pour le lequel il était venu, Gandhi décide de lutter
contre une loi visant à interdire aux indiens le droit d’élire des
représentants à l’assemblée de l’état du Natal. Il fait signer une
pétition à 10 000 personnes et obtient le retrait du projet de loi.
Gandhi avait surtout réussi à faire prendre conscience aux indiens
qu’il fallait s’unir. Devenu populaire, Gandhi décide de poursuivre le
combat. En 1896 il va chercher sa femme et ses enfants en Inde et
revient en Afrique du Sud. Il travaille comme avocat jusqu’en 1899. La
guerre des Boers éclate alors et Gandhi appelle ses compatriotes à
soutenir les anglais.


En 1906 une nouvelle loi
ségrégationniste est votée au Transvall. Elle enjoint les asiatiques à
se faire inscrire sur des listes destinées à contrôler de près leurs
activités. Gandhi réussit à convaincre 3000 délégués de ne pas se
soumettre à la nouvelle loi et de résister quel qu’en soit le coût,
mais sans violence. Gandhi est arrêté et incarcéré pendant six mois. En
1909 il publie "Hind Swaraj", livre dans lequel il développe les
théories du combat par la non-violence : la satyagraha.


Pendant huit ans, Gandhi
ne cessera de s’opposer aux lois ségrégationnistes et au Général Smuts
ce qui lui vaudra d’autres séjours en prison.


Finalement, le 30 juin
1914, Smuts et Gandhi signent un accord sur l’abrogation d’une grande
partie des lois raciales. Le 18 juillet 1914 Gandhi quitte l’Afrique du
Sud pour toujours et rentre en Inde.


Il décide, dès son
retour, de partir à la découverte de son pays natal. Son périple dure
un an à l’issue duquel il établit un ashram près d’Ahmedabad.


Son nom est désormais
associé à la lutte contre l’injustice. C’est pourquoi, début 1917,
Gandhi se rend au Bihar à l’appel des cultivateurs de l’indigo
exploités sans vergogne par les industriels anglais. Devant les risques
d’émeutes, le gouvernement donne satisfaction aux planteurs.


À peine rentré à
Ahmedabad, Gandhi soutient un mouvement de grève des ouvriers textiles
et utilise, pour la première fois, le jeûne pour faire pression sur les
patrons et pour marquer son entière solidarité avec les grévistes.


À la fin de la première
guerre mondiale, pendant laquelle Gandhi avait appelé au soutient de
l’effort de guerre, il présente aux britanniques ses premières
revendications d’autonomie pour l’Inde. Le 6 avril 1919, pour
impressionner les anglais, Gandhi appelle le peuple à manifester
publiquement dans tout le pays et à cesser toute activité. La
manifestation est un énorme succès. Le 13 avril, à Amritsar, la
population manifeste de nouveau malgré l’interdiction. Le général Dyer
ordonne alors à ses hommes de tirer sur la foule pacifique. Le bilan
est effroyable : plus de 300 morts et plus de 1000 blessés. Horrifié,
Gandhi suspend immédiatement la satyagraha.


En 1920 il repense ses
moyens d’action. Soutenu par le parti du Congrès et par les musulmans,
il appelle à la non coopération avec l’administration britannique et se
prononce pour le boycott des produits textiles d’origine européenne.
L’Inde tout entière bouge et la tension ne cesse de monter. De nombreux
leaders sont emprisonnés et des affrontements ont lieu. Pendant l’un
d’eux, 22 policiers sont lynchés par la foule. Le Mahatma, comme on
l’appelle désormais, décide de mettre fin à toute action.


Il est cependant arrêté
puis condamné à 6 ans de prison. Il restera emprisonné 2 ans pendant
lesquels le mouvement va sensiblement s’essouffler.


À sa sortie de prison,
Gandhi appelle à la cohésion nationale et il réclame l’égalité sociale
pour les intouchables qu’il appelle affectueusement les harijans
("enfants de Dieu"). Il mènera d’ailleurs deux grèves de la faim pour
qu’ils puissent entrer dans les temples.


Au début des années 30,
Gandhi a retrouvé toute sa fougue. Il bénéficie d’une influence
considérable. À chacun de ses mots d’ordre l’Inde s’immobilise. Le 12
mars 1930 le Mahatma entreprend son action la plus célèbre : la marche
du sel. Son objectif est de dénoncer le monopole anglais de la vente du
sel. Pendant 24 jours et sur 350 km le cortège ne cessera de gonfler.
Arrivé à son but Gandhi ramasse une poignée de sel et annonce qu’il
commence la désobéissance civile. Il est de nouveau arrêté.


En janvier 1931 le
Vice-Roi Lord Irving le fait libérer. Il échange la libération des
prisonniers politiques et la fin des lois sur le sel contre la fin de
la désobéissance civile et la participation de Gandhi à une conférence
organisée à Londres. Celui-ci accepte et en profite pour visiter
l’Europe. Cette table ronde ne sera suivie d’aucun changement notable
sur la politique indienne d’autant que Churchill arrive au pouvoir avec
l’intention d’écraser le Parti du Congrès. Des milliers de militants
sont bientôt arrêtés.


En août 1932 Gandhi est
jeté en prison. Les dissensions entre les communautés s’aggravent et
les droits des intouchables sont menacés. Le 20 septembre le Mahatma
entreprend une nouvelle grève de la faim. Le gouvernement britannique
plie devant la menace de la mort de Gandhi devenu très populaire en
Europe.


En 1934 Gandhi se retire
de la politique en tant que telle, préférant la laisser aux jeunes
leaders du Congrès dont Nehru. Il continue en revanche de se battre
pour la cohésion entre les communautés et pour l’éducation des masses,
ce qui lui vaudra l’inimitié des extrémistes hindous. Cette année là,
Gandhi échappe à la première des cinq tentatives d’assassinat dont il
fera l’objet.


Lors des élections de
1937, le Congrès obtient la majorité écrasante au parlement indien. Dès
lors la marche vers l’autonomie et l’indépendance semble inéluctable.


Lorsqu’éclate la seconde
guerre mondiale en 1939, Gandhi refuse de s’engager aux côtés des
anglais. Il affirme que seule une Inde indépendante pourrait contribuer
à la lutte contre les nazis. En 1942 il lance même son fameux slogan
"Quit India". Il enjoint les britanniques à partir au plus vite et
relance le mouvement de désobéissance civile. Lui et les dirigeants du
Congrès sont arrêtés après que des émeutes aient éclaté. Sa femme
Kasturbai meurt lors de sa détention. En 1944 Churchill le fait libérer.


Après la guerre, les
travaillistes d’Atlee arrivent au pouvoir en Angleterre. Le Premier
Ministre est bien décidé à mener le processus d’indépendance à son
terme. Lord Mountbatten est nommé Vice-roi avec cette mission. C’est
alors que les communautés musulmane et hindoue se déchirent. La Ligue
Musulmane de Mohammed Ali Jinnah ne cesse en effet de réclamer la
création d’un état indépendant à majorité musulmane.


Gandhi, lui, reste
attaché plus que tout à l’unité de l’Inde. Jinnah refuse de participer
au gouvernement provisoire de Nehru et appelle à une journée
d’insurrection le 16 août 1946. Elle se solde par des milliers de morts
dont au moins 5000 à Calcutta.


Gandhi use de toute son
influence pour éviter la partition mais le 15 août 1947 Lord
Mountbatten annonce l’indépendance de deux nouvelles nations : le
Pakistan et l’Inde.


On assiste alors à
l’exode meurtrier de plusieurs millions de personnes. Les sacs, les
meurtres, les règlements de compte en tous genres feront entre un et
deux millions de victimes. Épouvanté par la situation, notamment à
Calcutta, Gandhi décide de jeûner jusqu’à la mort. Nehru fait alors
tout ce qui est en son pouvoir pour mettre fin aux massacres. Il y
parvient d’extrême justesse et Gandhi se nourrit à nouveau. Pourtant la
colère des extrémistes n’est pas retombée. Ceux du côté hindou
notamment tiennent rigueur à Gandhi de sa trop grande mansuétude à
l’égard des musulmans.


Le 30 janvier 1948, l’un d’eux, Nathuram Godse, l’abat à Delhi. "Hé Ram" seront les dernières paroles du Père de la Nation.


Sa mort provoque une
émotion internationale. À Delhi plus de deux millions de d’indiens
assisteront à ses funérailles nationales.


Aujourd’hui encore
l’empreinte de Gandhi est vivante en Inde même si la société juste,
égalitaire et non violente dont il avait rêvé reste à construire.


Les Indes anglaises, bref rappel


L’hégémonie anglaise sur le sous-continent indien remonte au milieu du XVIIIe siècle.


Profitant du déclin de
l’empire moghol établi à Delhi... et de l’éviction de leurs rivaux
français conduits par Dupleix, des marchands anglais réunis au sein de
la Compagnie des Indes orientales avaient peu à peu subjugué les États
de la péninsule et soumis les princes hindous.


En 1867, la reine
Victoria avait reçu de son Premier ministre Benjamin Disraëli le titre
d’impératrice des Indes. Dès lors, le gouvernement de Londres allait
remplacer officiellement la Compagnie dans la gestion de l’immense
sous-continent.


Usant habilement des
rivalités entre princes, castes et religions, les Anglais allaient
réussir à maintenir l’Inde dans une paix relative pendant près de 80
ans tout en maintenant sur place une présence dérisoire. A peine
quelques 7.000 Européens.


Curiosités linguistiques


Gandhi doit son surnom de
Mahatma au poète Tagore. Le mot Mahatma (« Grande âme ») appartient à
la langue hindie, majoritaire au nord de l’Inde. On peut reconnaître
dans cette expression les mêmes racines que dans les mots latins major
(« grand ») et anima (« âme »). De la même façon, le mot
Maharadjah (« Grand roi ») a les mêmes racines que les mots latins
major et rex (« roi »).


Grâce à des observations
de cette sorte, les linguistes du début du XIXe siècle ont mis en
évidence une parenté commune entre les Européens et les habitants du
nord de l’Inde.


Gordon Childe, un grand
préhistorien britannique du début du XXe siècle, a pensé que les uns et
les autres descendaient de tribus originaires des pays du Don et de la
Volga, en Russie.


Ces tribus parlaient à
l’origine la même langue. Elles auraient migré, 4000 ans avant JC, qui
vers l’Europe, qui vers la Perse et l’Inde.


Les découvertes
archéologiques les plus récentes donnent à croire qu’elles seraient
en fait originaires d’Anatolie (la Turquie d’Asie) et auraient migré à
partir du... VIIIe millénaire avant JC.


Faute de mieux, ces
populations (Indiens, Perses, Grecs, Romains, Celtes, Germains et
Slaves) sont qualifiées d’Indo-Européens ou d’Indo-Germains par les
linguistes.


Max Müller propose pour
sa part le terme d’Aryens, d’après l’appellation « ârya » que se sont
données celles qui ont migré vers le Pendjab et l’Inde. Ce mot signifie
noble.


Le Français Arthur de
Gobineau exalte pour la première fois en 1853 la prétendue supériorité
raciale des Aryens dans son Essai sur l’inégalité des races humaines.


Dans cet ouvrage appelé à une grande célébrité, l’auteur déplore les conséquences du métissage irréversible des populations.


On sait comment les nazis ont dévoyé ces théories savantes pour tenter de démontrer la supériorité de leur race.




الهند Red Edité le: jeudi 3 janvier 2008.


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مُساهمة من طرف ZAKIYA الجمعة 18 يناير 2008 - 23:24

Le 12 mars 1930, Gandhi entame la « Marche du sel »


Le 12 mars 1930, Mohandas K. Gandhi entame une « marche du sel » en vue d’arracher l’indépendance de l’Inde aux Britanniques.

Dans
les années précédentes, le Mahatma a multiplié les manifestations
non-violentes et les grèves de la faim en vue d’obtenir pour l’Empire
des Indes un statut d’autonomie analogue à celui dont bénéficient les
colonies à population européenne telles que le Canada ou l’Australie.


Faute de résultat, certains membres de son parti, le
parti du Congrès, s’impatientent et menacent de déclencher une guerre
en faveur de l’indépendance.


Gandhi, pour ne pas être débordé, avertit le vice-roi
des Indes que sa prochaine campagne de désobéissance civile aura pour
objectif l’indépendance.


C’est ainsi qu’il quitte son ashram des environs
d’Ahmedabad, au nord-ouest du pays, accompagné de quelques dizaines de
disciples... et d’une meute de journalistes.


Après un parcours à pied de 300 km, il arrive le 6
avril au bord de l’océan Indien. Il s’avance dans l’eau et recueille
dans ses mains un peu de... sel.


Par ce geste dérisoire et hautement symbolique, Gandhi
encourage ses compatriotes à violer le monopole d’État qui pèse sur la
distribution du sel et oblige tous les consommateurs, y compris les
plus pauvres, à payer un impôt sur cette denrée commune.


Sur la plage, la foule, grossie de plusieurs milliers
de sympathisants, imite le Mahatma et recueille de l’eau salée dans des
récipients.


A Karachi comme à Bombay, les Indiens font évaporer
l’eau et collectent le sel au vu des Anglais. Ces derniers jettent plus
de 60.000 contrevenants en prison.


Les Indiens, fidèles aux recommandations de Gandhi, se gardent bien de résister.


Au bout de quelques mois, le vice-roi reconnaît son
impuissance à imposer la loi britannique. Cédant aux injonctions du
Mahatma, il libère tous les prisonniers et accorde aux Indiens le droit
de collecter eux-mêmes le sel.


Mal inspiré, Winston Churchill, alors dans l’opposition
parlementaire, ironise sur le « fakir séditieux qui grimpe à moitié nu
les marches du palais du vice-roi ».


La « marche du sel » apparaît aux Britanniques comme
l’équivalent de la « Tea Party » de Boston qui a conduit à
l’indépendance des États-Unis.


Le Mahatma est reçu en triomphe à Londres par les libéraux britanniques qui se résignent à une prochaine indépendance de l’Inde.


Celle-ci sera retardée par la deuxième guerre mondiale
et les dissensions entre hindous et musulmans. Le 15 août 1947,
l’Empire des Indes deviendra enfin indépendant mais au prix d’une
sauvage guerre religieuse et d’une scission entre Inde et Pakistan.
Gandhi y perdra la vie.




الهند Red Edité le: jeudi 3 janvier 2008.


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